Présentation






"Il n'y a pas d'émotion,
Il n'y a que la paix.
Il n'y a pas d'ignorance,
Il n'y a que la connaissance.
Il n'y a pas de passion,
Il n'y a que la sérénité.
Il n'y a pas de chaos,
Il n'y a que l'harmonie.
Il n'y a pas de mort,
Il y a la Force."

Odan-Urr, -3000 avant RR.







“Les Jedi doivent apprendre dès leur plus jeune âge qu’ils ne sont pas supérieurs aux êtres ne maîtrisant pas la Force, et qu’ils avanceront vers le droit chemin en se détournant de leurs propres besoins, au profit de la volonté de la Force.”

“Il est nécessaire d’avoir conscience de ses propres limites, afin de ne pas se surestimer. L’excès de confiance peut être fatal à ceux qui considèrent que l’usage de la Force est infini, soit par conséquent qui ne prennent pas en compte leurs propres failles.”

“Le défaitisme est aussi dévastateur que l’excès de confiance. Il est nécessaire de trouver un juste milieu entre ces deux concepts opposés. Essayer n’est pas suffisant, il faut faire les choses pour arriver jusqu’au succès.”

“Les Jedi doivent accepter la défaite, si le coût de la victoire est trop élevé. Il est préférable de trouver une solution pacifique, plutôt que de vouloir définir absolument un gagnant et un perdant.”

“Le manque de réflexion ou l’impatience peuvent engendrer un manque de prudence potentiellement fatal. Les Jedi se doivent d’agir avec retenue, et d'étudier les différentes options qui s’offrent à eux. La rapidité d’action n’est pas synonyme de victoire. Il est donc nécessaire de distinguer la vitesse de la précipitation.”

“Les Jedi ne doivent pas utiliser leurs pouvoirs pour percer des secrets qui ne les concernent pas. De tels actes auraient tendance à discréditer l’ensemble de l’Ordre Jedi. Les pouvoirs octroyés par la Force doivent être utilisés dans le cadre de missions données et contrôlées par le Conseil des Maîtres.”

“Les Jedi doivent absolument différencier l’agressivité de la détermination, notamment dans le cadre d’un combat. Tuer son adversaire ne peut se faire que dans un cadre d’auto-défense, et surtout ; sans la moindre agressivité ou haine réelle, sous peine de basculer vers le côté obscur.”

“Un Jedi se doit d’être complètement loyal et disposé à servir uniquement l’Ordre. Il ne doit pas s’éloigner de son devoir pour rallier des opinions politiques différentes, ou un attachement familial externe.”

“Les Jedi n’ont pas le droit, ni le besoin, de posséder plus que le matériel nécessaire. Cela afin de ne pas les distraire de leur mission, et pour conserver une forme de mobilité, ils emportent ainsi uniquement ce qu’ils peuvent porter sur eux.”





“Les Jedi se doivent de rester honnêtes envers eux-mêmes, envers leur Maître, mais aussi auprès du Conseil. Quelques exceptions sont néanmoins nécessaires lors de certaines missions, mais dans un cadre alors parfaitement contrôlé et assumé.”


“La promesse d’un Jedi ne doit pas être faite à la légère, elle doit être réalisable et tenue.”


“Un Jedi se doit de traiter son Padawan avec respect, de ne pas le réprimander en public, ni le punir pour avoir exprimé son désaccord. Reconnaître et encourager les victoires de son Padawan favorise le développement de ce dernier, sa confiance, et renforce l’attachement dans la Force entre le Maître et l’élève.”


“Un Padawan se doit d’être respectueux envers son Maître, particulièrement en public. Lors d’une discussion quelconque, et en présence d’un public quelconque, il est particulièrement mal venu d’argumenter contre l’avis de son Maître.”


“Le Conseil Jedi représente l’autorité suprême de l’Ordre. Dans la mesure où les membres du Conseil ne peuvent se rendre partout à la fois, des Jedi sont mandatés en son nom pour remplir diverses missions. Ces personnes sont donc la voix du Conseil en ces termes. Les membres de l’Ordre doivent alors être particulièrement vigilants à leurs discours, afin de ne pas mettre le Conseil dans une position délicate ou inconfortable. Agir différemment serait un grand manque de respect envers chacun.”


“Chaque action d’un Jedi reflète l’Ordre lui-même. Il est alors rappelé aux défenseurs de la lumière que leurs actions et leurs paroles peuvent être perçues par des individus n’ayant jamais vu un Jedi auparavant, et donc que leurs perceptions seront peut-être un jour déterminantes. Défendre une image positive de l’Ordre est en conséquence un travail quotidien, qu’il incombe à chacun de ses membres.”


“L’une des principales missions des Jedi est de faire respecter la paix et la justice. Il est évidemment primordial que ceux-ci soient eux-mêmes exemplaires. Ils ne sont en aucun cas au-dessus des lois, et doivent les respecter, comme tous citoyens. Il leur est néanmoins permis de les contourner dans des situations extrêmes, les Jedi concernés devront toutefois être en mesure d’en assumer les conséquences.”


“Tout Jedi se doit de protéger et de préserver la vie de chaque être vivant. Le meurtre n’est toléré qu’en cas d’extrême nécessité, et demande la prise de conscience par le Jedi de l’action commise. Un manque de considération pour la vie serait assurément une pente glissante vers le côté obscur de la Force.”





Les mythes et légendes ponctuent l’histoire des Jedi. Difficile de démêler les contes destinés aux enfants des faits concrets, aux sources et interprétations diverses de surcroît. Cependant, une chose est sûre : aucune autre communauté n’a jamais aussi bien incarné la lumière et la justice que l’Ordre Jedi. Depuis des millénaires, cette confrérie de la Force agit en symbiose avec la République Galactique, fleuron de la démocratie dans l’univers. Ses membres, célèbres adeptes de la Force aux pouvoirs parfois impressionnants, sont formés traditionnellement dès le plus jeune âge, selon un code strict. La particularité du Jedi est, notamment, qu’il doit être capable de faire le tri dans ses émotions, afin de repousser sans cesse la tentation du côté obscur. C’est en ce sens que, par exemple, l’amour passionnel lui est interdit.

La première chose qui est apprise aux Néophytes de l’Ordre est la distinction entre le bien et le mal, ce qui est juste et ce qui ne l’est pas. La valeur de la vie est également un credo phare chez les Jedi. Aujourd’hui, cette "religion", pourtant bienveillante, est remise en cause par un grand nombre, car les chevaliers de la lumière, adulés jusque là, n’ont pas su capter les intentions dissimulées de l’ancien Chancelier de la République, qui n’était autre que le Seigneur Noir Darth Ignicius.

Au lendemain des révélations sur le projet d’Empire Sith du Chancelier, plusieurs reproches furent logiquement établis envers les Jedi, eux aussi leurrés par Ignicius, comme tout le monde à vrai dire, malgré leur prétendue sagesse supérieure, peut-être alors surestimée. En conséquence, la nouvelle ligne de conduite des Jedi, décidée en réponse aux derniers événements par le Grand Maître Cadalo, vise à redorer subtilement le blason de l’Ordre. Le culte du côté lumineux doit démontrer, étape par étape, à la galaxie que cette dernière a fondamentalement besoin de ses protecteurs mystiques, et cela en toutes circonstances. Mais les Jedi, en nombre limité aujourd’hui, ne peuvent pas être partout. De plus, il sera difficile de ramener la paix et l’équilibre, dans un climat où deux puissantes factions se frictionnent en quasi-permanence…

Pour certains, cette crise pourrait aboutir à la destruction pure et simple de la confrérie. Pour d’autres, il s’agit seulement d’une épreuve de plus, pour des adeptes de la Force qui, de toutes façons, en ont vu bien d’autres au fil des millénaires. Le Conseil tente en tout cas d’instaurer une discipline franche, sans ambiguïté. Pourtant, même en son sein, les avis divergent sur la façon de faire, et tout autant sur les mesures précises à prendre pour restaurer l’équilibre dans la Force et la galaxie.




La structure de l’Ordre Jedi est souvent mal connue, particulièrement de l’extérieur. Il n’est d’ailleurs pas rare d’entendre quelqu’un parler de Chevalier Jedi, alors qu’il nomme en réalité un simple Padawan. Cette confusion vient essentiellement du fait que l’âge ne suffit pas à gravir les échelons au sein de l’Ordre. Le nombre des années d’un adepte de la Force a bien peu de poids face aux épreuves qu’il a vécu, du moins aux yeux des Maîtres du Conseil. Ces derniers sont les seuls capables d’attribuer un nouveau grade à un Jedi.

Lorsqu’un membre de l’Ordre se sent prêt, ou si son propre Maître le considère ainsi, il passe devant le Conseil pour un examen, qui va de la simple conversation/audition, au véritable interrogatoire théorique. Si la majorité du Conseil estime le Jedi effectivement capable de supporter un titre supérieur, il lui est accordé dans les plus brefs délais. Autrement, les Maîtres-Conseillers expliqueront leur rejet, dans la mesure du possible.


Grades Croissants de l’Ordre Jedi :

• Novice Jedi
  

La plupart des Novices sont âgés entre 4 et 8 ans, et vivent à l’internat du Temple de Coruscant. Il s’agit de Jedi non confirmés, qui possèdent toutefois un bon potentiel d’affinité avec la Force. Leur instruction se fait ainsi en groupe, quotidiennement, généralement sous l’oeil bienveillant d’un Chevalier. Le Grand Maître est aussi très présent auprès des Novices, car il est assurément le plus à même de capter les éléments surdoués.
Grade non accessible aux PJ, sauf dérogation spéciale.

• Padawan Jedi
  

Au moment de l’adolescence (selon son espèce), un Novice passe son premier examen auprès du Conseil. S’il s’en sort convenablement, un mentor lui est attitré (qu’il appellera “maître”, même s’il s’agit d’un Chevalier), le Novice devient donc un Padawan. Dans l’histoire de l’Ordre, il est arrivé de voir des Jedi prendre sous leur aile des personnes initialement jugées trop âgées par le Conseil (pour démarrer une formation). Celles-ci intégrèrent donc l’Ordre directement au rang de Padawan, de façon bien peu orthodoxe et on ne peut plus rare. Actuellement, le Grand Maître Cadalo est plutôt ouvert à la discussion sur le sujet (à cause de la montée en puissance des Sith, notamment), mais il est tout de même peu probable qu’il autorise une telle entorse au règlement à n’importe qui. Il est également bon de noter que certains membres historiques de l’Ordre ne parviennent jamais à atteindre le rang de Chevalier, faute de réussite, de maîtrise, de maturité, ou parfois même aussi de compétence.

• Chevalier Jedi
  

Un Chevalier est obligatoirement un Padawan qui s’est forgé une expérience solide auprès d’un mentor de grade supérieur, dont les compétences sont officiellement reconnues par le Conseil. C’est à partir de ce rang que les Jedi peuvent côtoyer le terrain en solitaire, ou, à contrario, avec une responsabilité certaine. Un Chevalier Jedi peut également être amené à donner des cours aux Novices, il arrive notamment que le Conseil lui attribue un Padawan, s’il dispose de sa confiance, bien que ceci soit avant tout réservé aux Maîtres.
Niveau minimum : 3.

• Maître Jedi
  

Le rang de Maître est sans aucun doute l’un des plus prestigieux de l’Ordre, tant il est difficile de l’atteindre en une seule vie (il y a beaucoup plus de Chevaliers et de Padawans que de Maîtres chez les Jedi actuellement). Le Conseil attribue donc ce titre aux Chevaliers qui ont fait preuve d’une sagesse profonde, et qui sont parvenus à rentrer en symbiose avec le côté lumineux de la Force. Les individus qui deviennent Maîtres ne sont pas ceux qui veulent le devenir plus que tout, mais plutôt ceux qui le méritent, au-delà des ambitions et des rêves de chacun.
Niveau minimum : 5.

• Maître-Conseiller
  

Historiquement, un Maître-Conseiller est nommé par les autres membres du Conseil, parmi tous les Maîtres de l’Ordre. Siéger au Conseil est d’une importance capitale, puisqu’il s’agit de contribuer aux réflexions du Grand Maître et de peser dans les décisions qui concernent l’avenir du groupe. Par tradition, le Conseil suit la direction dictée par son plus haut représentant, toutefois il arrive que les avis divergent, et que certains débats soient plus sujets à polémiques que d’autres. En ces heures sombres, 6 Maîtres-Conseillers sont en fonction, mais il reste bien entendu d’autres places à combler, au cas où un Maître se montrerait à la hauteur de cette tâche de haut prestige.
Réputation minimum : 250.

• Grand Maître Jedi
  

Le Grand Maître conserve son titre généralement jusqu’à la fin de sa vie, il n’y a pas plus haute autorité au sein de l’Ordre Jedi. Il dirige de ce fait le Conseil, auquel il devait déjà participer bien avant sa nomination, et délivre de précieux enseignements en permanence à ses pairs. Asledo Cadalo est le Grand Maître Jedi actuel.





Il existe 3 voies dites spécialisées chez les Jedi : la voie du Consulaire (qui se base avant tout sur la diplomatie et son savoir de la Force), la voie de la Sentinelle (équilibre son instruction entre combat et profondeur spirituelle), et la voie du Gardien (dévoué au combat contre le mal, il utilise surtout ses compétences guerrières hors normes pour parvenir à ses fins). Les Jedi Consulaires forment majoritairement le corps diplomatique et éducatif de l’Ordre, le Grand Maître Cadalo en est sans doute le meilleur représentant pour l’heure. Les Sentinelles, elles, sont dispersées dans toutes les tâches à effectuer. Grâce à leur polyvalence, elles peuvent même accomplir des missions importantes en solitaire. Le Maître Pullum est la Sentinelle la plus expérimentée du Conseil. Enfin, les Gardiens sont les maîtres d’armes de l’Ordre, implacables en duel, et parfaitement plongés dans la lutte frontale contre le côté obscur. Le Maître Sarro est, sans conteste, le Gardien le plus redoutable de l’Ordre.

Vous l’aurez ainsi compris : les Consulaires sont sollicités principalement pour effectuer les missions diplomatiques, qui concernent aussi fréquemment la République. Il n’est pas rare, non plus, de voir un Jedi de ce courant prêter main forte lors d’enquêtes policières. Grâce à leur proximité avec la Force, les Chevaliers de la lumière voient des choses que le commun des mortels ne peut percevoir. Malgré une image récemment entachée, les Jedis demeurent les porte-étendards de la justice pour la plupart des gens, et ils comptent bien assumer leur rôle de protecteurs tant qu’ils le peuvent, au moins vis-à-vis de la population Républicaine…







Si 3 couleurs principales correspondent aux grandes voies entreprisent par les Jedi, il est tout à fait possible d’utiliser des cristaux d’autres teintes pour forger un sabre laser. L’Ordre autorise à peu près toutes les nuances existantes (à partir du grade de Chevalier), mis à part le rouge, bien entendu, éternel symbole des partisans côté obscur.

Fabriquer un sabre alimenté par un cristal d’énergie demande une méthode assidue, une maîtrise certaine de la Force facilite d’ailleurs grandement la chose. Il s’agit même d’une étape importante dans la formation du Padawan, qui annonce généralement son passage imminent au rang de Chevalier. Après avoir créé de toutes pièces sa première arme, le Chevalier officiellement nommé peut changer la couleur de sa lame, à condition de dégoter un cristal adéquat. L’Ordre connaît évidemment plusieurs mondes reculés permettant de telles trouvailles, mais il est d’usage de ne pas révéler leur position ouvertement. La bibliothèque est notamment une source précieuse d’information sur le sujet. Mais attention, les cristaux ont eux-mêmes un lien particulier avec la Force, et ils sont donc capables de littéralement choisir le Jedi qu’ils accompagnent.

Enfin, avant de vous lancer dans une quête de fouille archéologique, prenez le temps d’apprendre la symbolique de chaque cristaux. Ci-dessous, vous trouverez une liste relativement complète des couleurs existantes (issues uniquement de cristaux naturels), dont les interprétations demeurent en respect total avec les traditions Jedi :

• 
  Bleu
  

Lame d’un bleu intense, arme classique des Gardiens de l’Ordre, symbole de protection et de combat pour la paix. Les cristaux bleus proviennent généralement d’Illum.

• Turquoise
  

Plus clair que le bleu classique des Gardiens, le turquoise représente la pureté et l’agilité. Ces cristaux appellent les esprits les plus vifs et bienfaisants à les trouver.

• Blanc
  

Symboles de justice et de paix, les cristaux blancs se tournent vers les âmes inébranlables, dotées d’une grande loyauté et d’une profonde justesse de jugement.

Gris Difficile à distinguer du blanc, le gris est pourtant une couleur à part entière, destinée aux êtres calmes et relativement sages.

Rose Exprime la compassion et les valeurs sociales fortes du Jedi, les cristaux roses choisissent les êtres essentiellement bienveillants et généreux.

• Violet
  

Extrêmement rares, les cristaux violets (aussi appelés “gemmes arc-en-ciel”) correspondent aux Jedi les plus ambigus, dont le coeur peut être amené à ressentir fréquemment des émotions liées au côté obscur, sans pour autant leur céder. Les porteurs de sabres de cette teinte possèdent, par conséquent, une lucidité à toute épreuve, et un grand contrôle de leur esprit.

• Jaune
  

Couleur de prédilection des Sentinelles, en adéquation avec les Jedi aux compétences équilibrées, et donc très polyvalents.

• Orange
  

Variante du jaune des Sentinelles, l’orange correspond à celles et ceux qui se dévouent complètement à l’anéantissement du côté obscur, et cela par tous les moyens. Cette couleur est aussi un symbole de protection physique (les gardiens du temple l’arborent, d’ailleurs).

• Marron
  

Les cristaux marrons sont peu communs, ils attirent avant tout les êtres disposant d’une constitution et d’une force exceptionnelle, la résistance psychique semble leur plaire également.

• Vert
  

Symbole de la sagesse et de la méditation, couleur logiquement portée par les Jedi Consulaires, adeptes de la diplomatie et de la réflexion plutôt que de la confrontation directe. les cristaux verts proviennent généralement d’Illum, tout comme les bleus.

• Vert Acide
  

Version presque fluorescente du sabre des Consulaires, le sabre vert acide (aussi nommé vert pomme) est synonyme d’une énorme puissance dans la Force. Évidemment, bien peu d’élus parviennent à dénicher les cristaux de cette nuance secondaire élitiste.

• Rouge
  

Le seul cristal naturel capable de produire une lame rouge, sans corruption par le côté obscur, est le Keiburr (dont les rares gisements se trouvent sur Mimban et Jedda, notamment). Il s’agit là d’une pierre très spéciale, puisqu’elle augmente les affinités avec la Force dans un court rayon d’action. La lame qu’elle produit est aussi connue pour être extrêmement puissante. L’Ordre Jedi moderne a néanmoins interdit l’utilisation du cristal Keiburr dans la conception des sabres laser. Ceci, à cause de sa teinte bien sûr, mais aussi de ses propriétés dangereuses, axées sur le pouvoir personnel, et donc susceptibles de mener vers le côté obscur.





Dans un soucis de préservation des ressources limitées en cristaux dans la galaxie, l’Ordre Jedi a réussi à créer des cristaux synthétiques (uniquement bleus, jaunes et verts ceux-ci, les Sith en fabriquent également des rouges), qui servent à la conception des armes mises à disposition des Néophytes et des Padawans. Cependant, les apprentis débutent plutôt leur entraînement en escrime avec des épées en bois (si d’aventure, ou par la force des choses, ils sont amenés à se battre en situation réelle, des vibrolames peuvent être distribuées à ceux qui ne sont pas encore aptes à utiliser de vrais sabres laser), avant de pouvoir finalement manier un sabre laser, alors fabriqué par les vertueux artisans du temple.

Le cristal d’un sabre laser n’est évidemment pas le seul composant de cette arme. Les manches et poignées sont également essentiels, et peuvent totalement changer le style de combat d’un Jedi. Il existe ainsi diverses variantes du sabre laser, en voici un bon nombre :

• Proto-sabre
  

Ancêtre du sabre laser, bien plus lourd et encombrant que les versions modernes, puisqu’il possède une batterie externe reliée au manche de l’arme. Le proto-sabre est plus une pièce de collection qu’autre chose désormais, l’Ordre Jedi en expose d’ailleurs quelques uns au Temple de Coruscant.

• Manche standard
  

Contient tous les composants miniaturisés nécessaires pour faire fonctionner un sabre laser. Ce manche métallique est parfaitement droit, robuste, simple à manier, et donc très répandu. Il s’agit de la poignée traditionnelle des sabres de l’Ordre, notamment parce qu’il peut accueillir quasiment n’importe quel cristal d’énergie.

• Grande poignée
  

Manche allongé de conception solide, adapté aux individus de grande corpulence. La lame produite est aussi plus longue que celle d’un manche standard, elle nécessite d’ailleurs un cristal spécial pour fonctionner.

• Lance laser
  

Arme particulière, peu courante, dont le manche en alliage résistant est aussi long (voire bien plus, selon les modèles) que sa lame laser.

• Poignée à double-lame
  

Manche doublement plus grand qu’un standard, puisqu’il peut accueillir deux cristaux d’énergie, et par conséquent produire une lame à chaque extrémité. Les sabres laser de ce genre sont très difficiles à manier et nécessitent un entraînement spécifique. Cette version est un modèle indissociable, il ne s’agit donc pas de deux manches imbriqués mais bien d’un seul.

• Manche incurvé
  

Sabre à la poignée agressive, courbée, permettant des mouvements vifs et précis. Moins idéal que le sabre standard pour maintenir une garde solide et statique, ce manche a une vocation surtout offensive et mobile. En général, les élégants bretteurs de la forme II (Makashi) sont particulièrement friands de ce type d’arme.

• Shoto
  

Modèle standard miniaturisé et allégé, afin de convenir aux individus de petite taille. Le shoto possède une lame raccourcie également (ce qui en fait une arme particulièrement appréciée pour former des duos de sabres). Les Néophytes de l’Ordre Jedi étant souvent des enfants, leur équipement de base est conçu avec des manches shotos, la plupart du temps.

• Claymore
  

Variante imposante du sabre laser. Plus lourde et concentrée que les modèles classiques, sa lame est aussi longue que celles produites par les grandes poignées. Détail important ; la garde d’une claymore est constituée de deux petites lames perpendiculaires au manche, ce qui en fait une arme d’autant plus dangereuse, puisqu’elle permet de porter des coups sous d’autres angles qu’un sabre conventionnel.

• Tonfa
  

Poignée atypique qui permet de tenir son sabre lame pointée vers le bas. Les attaques au tonfa sont ainsi très rapides.