KRAINHELL
Celui-Qui-Ne-Crains-Pas-L’EnferMeng Li, le pantoran Sith
- Nom (de famille, de lignée, maison, etc...) : Meng
- Prénom(s) : Li
- Surnom(s), sobriquet, matricule... (facultatif) : Krainhell
- Espèce : Patoran
- Âge : 20 ans
- Sexe : Masculin
- Faction : Sith
- Métier/poste envisagé : Apprenti / Sorcier
- Sensitif ? : Oui
- Niveau demandé : 1
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Description
Physique :Li, ou plutôt Krainhell, fait partie de la race des pantorans, originaire de la lune de Pantora. Il possède une peau bleutée, un bleu légèrement foncé, sa peau parcourut de marques rituelles d’une couleur jaune d’or. La peau au niveau de ses paumes et la voûte plantaire de ses pieds sont d’une couleur plus clair. Mesurant un mètre soixante-dix, il se trouve être dans la moyenne en terme de taille, alors qu’il arbore une corpulence très fine, pour pas dire maigre. Une caractéristique typique de sa race, filiforme génétiquement. Ses yeux irradient d’un rouge sombre tacheté de petits éclats couleur or. Il possède d’ailleurs de très grands yeux, dans un visage sec et tiré, un air strict gravé comme dans du marbre. Une mâchoire carrée agrémenta son visage.
Mise à part ces quelques différences, les pantorans ressemblent à n’importe quels humains « normaux », à l’exception d’une résistance accrue au froid, faisant passer un petit vent faisant -10°C pour une brise printanière.
Krainhell ne possède ni implant cybernétique ni aucune prothèse. Il a eu la chance de ne pas avoir être lourdement blessé au cours de son passé.
Il porte sur lui des tenues traditionnelles de son peuple, dans des tons sombres, pour ne pas dire intégralement noir, voir du bleu foncé lorsqu’il veut se balader incognito. Il porte généralement un masque respiratoire modulable, dû à une faiblesse respiratoire, couvrant la moitié basse de son visage, alors que la partie haute était à moitié cachée par une capuche la plupart du temps.
Mental :Krainhell est un observateur. Une ombre. Il n’est pas vraiment comme les autres Sith qui sont pour la plupart dans une optique expansionniste ou dans une envie sanguinaire d’éradication de jedi. Il préfère observer, analyser la situation, réfléchir puis frapper un coup d’une précision chirurgicale, ou s’enfuir si la situation est très dangereuse puis revenir avec un meilleur plan.
Pour lui, chaque détail à son importance, regardant attentivement et usant de la Force pour adapter chaque situation selon son envie et sa volonté. D’ailleurs, il préfère user de la Force que d’utiliser son sabre laser, qui parait bien plus propre et neuf que la plupart de ses confrères/obstacles Sith. Pour autant qu’il se souvienne, le Sith ne supporte que peu de personnes. Asocial sans l’être pour autant, il est très sélectif dans le choix de son entourage et même ses proches sont pour lui qu’une source de distraction ou un moyen d’acquérir des informations ou des ressources.
Krainhell… N’aime personne tout comme il ne s’aime pas. Il se déteste pour sa faiblesse constante et son sentiment d’impuissance continue. Paradoxalement, il aimerait avoir quelqu’un proche de lui, qui le réconforterait, l’aiderait et le motiverait. Mais ce genre de personne finirait comme les autres… En sujet d’expérimentation ou en défouloir pour l’avoir fatigué ou pour être rester trop longtemps contre lui. Et si elle se comporte mal ou s’y prend mal, cette personne pourrait expérimenter une mort aussi effroyable que brutale. Pour le moment, la seule personne n’ayant pas reçu ce supplice serait son maître, mais il n’existe aucun holocron prouvant le contraire.
Résumé des défauts/qualités :- Qualité : résistance accrue au froid
- Défaut : déficit respiratoire dans un climat tempéré
- Qualité : très bon instinct de survie
- Défaut : solitaire proche de l’asocial
- Qualité : sadique et curieux
- Défaut : esprit rigide
Statistiques en jeu
| FP | E | A | I | V | Ch | D |
Base | 2 | 3 | 2 | 4 | 4 | 2 | 3 |
Bonus | +0 | +0 | +0 | +0 | +0 | +0 | +0 |
Total | 2 | 3 | 2 | 4 | 4 | 2 | 3 |
Rang | Gringalet | Fragile | Apte | Sensé | Faible | Banal | Intermédiaire |
Total des points répartis : 20Compétences des utilisateurs de la Force :
- Pouvoirs de Force :
- Télékinésie Élémentaire (Rang D2),
- Vision de Force (Rang D2).
- Formes au sabre : Forme III Soresu
Compétences/Malus autres:
- Survie difficile en milieu hostile ou sauvage sans accompagnement,
- Malus persistant pour les tirs de précision, le pilotage et le sabre laser,
- + 5% sur tous commerces,
- Pas de malus aux lancers de dés.
Histoire
Data-données N°Y358-23008-D66780…
Chargement des archives en cours…
Localisation de l’enregistrement… Inconnue…
Date d’enregistrement… Inconnu…
Chargement terminée. Diffusion en cours…
Je suis le maître jedi Kul’Myar. J’enregistre ce message, ayant sentis une légère perturbation dans la Force aux alentours de la planète Ordo Plutonia. Après un contact avec un groupe de pantonans locaux, ils m’avaient annoncé un jeune enfant doué de capacités spéciales. Mais lorsque je le vis, je ne voyais qu’un adolescent au regard vide, faible physiquement et au regard vide. Lorsque les autres lui dire de me montrer ses capacités, ce dernier me dévisagea puis tendit le bras. Je m’attendais à quelque chose mais le résultat n'en fut que décevant, les cailloux bougeant avec peine, à peine plus qu'un courant d'air. Je suis reparti aussitôt, tournant le dos aux locaux qui me demandait de le prendre avec moi. Je suis parti sans demander mon reste, ne voyant pas pourquoi je devrais le prendre avec moi.. Je préfère, par prévention laisser ce message en archive, dans le cas où un jedi passe par ce système dans le futur.
Fin de message.
Diffusion terminée.Je me nomme Meng Li. Et ce que vous venez d’écouter fût ma première rencontre avec un jedi. Je devais avoir une quinzaine année. A cette époque, ma vie était loin d’être extraordinaire, ni un rêve et encore moins la vie qu’un être ordinaire souhaiterait avoir.
Les pantorans avaient alors décidé de coloniser la planète Ordo Plutonia, une planète glaciaire, entrant en conflit avec la race des Talz. Ayant des difficultés à combattre cette race féroce et impitoyable, certains dirigeants demandèrent l’aide de la République, sans vraiment avoir un grand impact. C’est là que j’intervins.
Que se passerait-il si le peuple pantoran se voyait découvrir un membre de leur société sensible à la Force ? Politiquement, la République ferait tout ou presque tout pour aider une race sensible à la Force et de l’autre côté, l’Ordre Jedi viendrait appuyer le peuple en question, en général.
Cet individu, c’était moi. A l’âge de cinq-six ans, on me diagnostiqua une sensibilité à la Force, faible et ayant un très faible taux de midichlorien dans le sang. Depuis ce jour et en attendant l’arrivée d’un jedi, les personnes de mon propre peuple, ma famille, mes amis, tous se mirent à vouloir développer mon potentiel, par des exercices psychiques et physiques. Je n’étais plus à leurs yeux qu’un cobaye, un objet.
Puis le jour où le jedi vint, la déception avait gagné mon peuple. Alors que j’arrivais à soulever quelques cailloux à deux centimètres du sol, ce jour-là, ces derniers restaient au sol. J’avais beau faire comme d’habitude, rien ne vint. Le jedi parti, je fus rejeté aussitôt par la société, je devins un paria, maltraité et tourmenté. Ma propre famille me tourna le dos, le laissant à peine de quoi vivre. Chaque fois que je sortais de ce que j'appelais encore ma demeure, je subis les brimades et railleries de mes voisins. Chaque fois que je déambulais dans les rues telle une âme en paix, je reçus leur bloc de glace ou leur cailloux, ainsi que leur air méprisant. Je n'avais plus confiance envers les autres, mais surtout, je n'avais plus confiance en moi.
Les jours s’écoulèrent et un soir, alors que j’errais telle un fantôme, je suis rentré dans une personne. Alors que je me tenais au sol, je la regardais, éclairée sous la lumière de la grande lune. Un être tout habillé de noir, une capuche sombre cachant son visage et son regard que je sentais intense, son aura irradiant une soif de sang. J’étais pétrifié, frigorifié. L’être tendit sa main et m’attrapa par le col. Dans mon esprit, la peur et la colère s’étaient entremêlées à son contact, ce qui ne m’était jamais arrivé. Je m’agitais, me débattant et rageant, sans dire le moindre mot, juste des sons.
L’individu me regarda et ricanant, un rire féminin, amusé et tordue. Elle retira sa capuche, dévoilant son visage de twi’lek, une peau rouge et des tatouages noirs parcourant sa peau. Ses yeux, rouges, me regardaient avec profondeur. Aujourd’hui encore, j’en tremble… mais pour d’autres motifs.
Elle me sourit, dévoilant des dents blanches, puis me dit d’une voix amusée, douce et profonde :
- Toi, j’aime ton regard. Tu dégages de la colère et de la peur. Et ta voix… Si douce et belle… J’aime ça.
C’est ainsi qu’elle m’avait enlevée à mon monde, à ma famille… A cette vie. C’est dans son vaisseau que j’appris comment elle s’appelait : Lib'Nevi. La douce, tortueuse, délicieuse et dérangée Lib’Nevi. Une twi’lek aux courbes et au physique aussi ravageur que ses compétences au sabre laser. Elle ne me conta son histoire qu'en plusieurs fois, restant évasive et mystérieuse, ce que je comprenais facilement.
Durant les premiers jours, puis semaines et enfin mois, j’étais en permanence sous son aile, tel un oisillon blessé, meurtri. Elle me protégeait des menaces et des dangers, comme une mère. Elle m’apprit les notions de base sur la Force, les arts martiaux, mais aussi sur d’autres disciplines, comme l’astronomie, la science, la chimie et la médecine. J’écoulais des mois de pur bonheur, goûtant à un sentiment proche du bonheur, sans pour autant avoir basculé totalement dans le côté obscur, dans un rythme de vie assez nomade, sans avoir de base ni de cachette. Puis tout changea au bout d’un an.
Elle se mit à me repousser et parfois m’abandonner sans la moindre pitié, un sourire sadique aux lèvres. Elle me laissa seul pendant des jours voir des semaines sur les planètes les plus inhospitalières, de la planète de glace à la planète volcanique en passant par les planètes marécageuses ou en pleine révolution, me confiant des missions aussi idiotes et suicidaires, soit disant pour m’endurcir. A Chaque situation, à chaque planète, je ne fus doué que pour une chose : survivre et me cacher. Lorsqu’elle revenait me chercher, elle me punissait, toujours avec le sourire, jusqu’au jour où on allait sur Naboo.
Je fus abandonné sur la planète, avec pour mission de récupérer un objet sacré chez les gungans. Lors de la récupération, l’objet en question, que j’avais réussi à dérober, s’était brisé et la sith, en colère comme je ne l’avais jamais vu être, me punit férocement. Outre les électrochocs directement sur la boîte crânienne, les aiguilles couvertes d’une solution irritantes sous les ongles et la torture psychologique, elle procéda à une expérience nouvelle.
- Tu as une si belle voix… Telle un canari. Dommage.
La suite fut aussi cruelle que brutale. Elle se saisit d’un charbon ardent, le tirant d’un brasero par la Force et le fit léviter lentement jusqu’à mon visage. D’une main aussi puissante qu’adroite, elle ouvrit ma mâchoire et enfonça lentement le petit charbon dans ma gorge jusqu’à atteindre les cordes vocales. Puis elle le retira et recommença le processus plusieurs fois. Lorsque le charbon était éteint, elle en saisit un autre et recommença le processus pendant des heures, avant de me laisser seul, dans le cachot. Heureusement, je ne souffrais que de séquelles mineurs, mais depuis, ma voix changea du tout au tout, devenu grave, irritée, comme deux blocs de granit frappés l’un sur l’autre. De plus, lorsque je me trouvais dans un climat autre que glaciale, j’éprouvais le besoin de porter un masque respiratoire. Depuis ce jour, la colère et la haine avait remplacé la fascination que je portais à la belle twi’lek, voulant la faire souffrir plus que je voulais l’humilier. Mon mental changea, tout comme la couleur de mes yeux… Après plus d’un an auprès d’elle, enfin j’avais franchi le côté obscur de la Force. Après une année avec elle, j’avais enfin une vraie soif de puissance et de destruction.
Toujours sous son aile allégresse, j’étudiais les arcanes noires du côté obscur, la Force sous toutes ses formes, du moins celles que maîtrise mon maître, ce qui se trouvait être un répertoire léger et mince. Après tout, elle préférait le sabre laser aux pouvoirs mystiques. En général, un apprenti suivait plus ou moins la voie de son maître… Pas nous. Toutefois, on avait en commun la passion de la torture, elle par sadisme naturel, moi par envie de la torturer et de la briser. Elle le savait et prenait un malin plaisir de me titiller sur ce sujet.
Malheureusement, l’art du sabre m’échappait terriblement, mon corps, même si développé pour un pantoran, était frêle et je ne savais uniquement me défendre. Malgré l’acharnement de mon maître, je restais bloqué par des postures défensives. Je n’étais pas pour autant désavantager, à l’exception de l’expérience réelle au combat. A contrario, ma maîtrise de la Force augmenta clairement, nettement, au grand plaisir de ma sadique de maîtresse.
Après quelques années d’apprentissage, Liv’Nevi me donna une mission surprise. Je n’appris la destination qu’une fois sur place, créant en moi un haut de cœur sous mon masque respiratoire, ma colère bouillonnant dans mon cœur et mon esprit. Ordo Plutonia. Plusieurs années après m’avoir enlevé et éduqué dans une voie sombre, elle me ramena chez moi… Enfin, chez moi, l’expression était vite dite. Avant d’atterrir, elle me donna une disquette. Cette disquette que vous venez d’entendre. La fameuse disquette.
Une fois sur le sol glacé de la planète, Lib’Nevi me tendit une bout de papier avant de me laisser là, comme d’habitude. Lorsque je l’ouvirs le papier, je lu les mots suivants.
« Ta dernière épreuve avant d’être officiellement mon apprenti… Détruit les liens qui t’enracinent. A la racine, tu trouveras la Liberté. De la Liberté, tu sombreras dans la douleur. Dans la Douleur, tu y trouveras du Plaisir. La Liberté sera donc ton Plaisir.
Je reviendrais dans deux jours. Amuse-toi bien. »
La suite, je vous le laisser imaginer. Je vous passerais les détails sanglants, honteux et profanatoires que je me suis amusé à faire, un sourire aux lèvres, les larmes coulant aux yeux, ma gorge brûlante par le rire et la tristesse.
Deux jours plus tard, elle revint, comme promis. Elle arbora un sourire en me voyant, couvert de cendres et de sang. Au début, elle voulait dire un mot, mais lorsqu’elle vit les corps jonchant le sol, formant des glyphes sith rougeâtre et bleu, elle me sauta dessus. Pour la première fois depuis le début de notre relation, on partagea plaisir et douleur ensemble, au milieu de ce lieu, au milieu de ce massacre. A maintes reprises, j’avais eu de nombreuses occasions de la tuer, je ne pus. Elle m’avait tant donné et je voulais tant lui donner. Elle était ma maîtresse Sith et intime et moi… J’étais son apprenti Meng Li, mais mon nom Sith était maintenant Krainhell… Celui qui ne craint pas l’Enfer.
Et voici le début de notre route, quelques années après l'avoir rencontré. Elle me raconta l'histoire de sa vie, jusqu'à notre rencontre. Lib'Nevi, ma maîtresse, était à l'origine une esclave twi'lek, une sous-espèce déviante, à cause de sa coloration de peau. Depuis son jeune âge, elle fût traîté comme une esclave sexuelle, vendu au plus offrant, jusqu'à ce qu'elle rencontre un soldat sith. Suite à une péripétie aussi sanglante que mémorable, elle fût confié à un maître sith pour le reste de son apprentissage, ce dernier œuvrant pour la conception d'une école en partenariat avec un certain Conseil Noir. Toutefois, elle n'aimait guère les coups bas et les intrigues de cour, ce qui la poussait à la recherche de son sauveur et de rester loin des intrigues.
Sur la route, elle rencontra de nombreuses personnes et individus, notamment des sorciers et des brigants, mais l'ennuie l'avait emmener loin dans la galaxie. Et un jour, elle rencontra un jedi et le tua sans le moindre mal. En fouillant ses affaires, elle tomba sur une data-donnée... Oui, la data-donnée me concernant. Au début, elle pensait me tuer puis elle s'était rendu compte que mon potentiel ne demander qu'à être explorer. C'était pour cette raison qu'elle me gardait et aujourd'hui, elle allait faire ce qu'on avait fait pour elle.
Sur ces mots, je ne compris pas, mais en arrivant sur Raxus, je compris que les adieux étaient proches. Elle avait décidé de me laisser à l'Académie Sith qui venait de voir le jour il y a une année stellaire à peine. Après l'avoir quitter, elle me promit de revenir me récupérer, comme elle l'avait toujours fait. La croire sur parole ou non, je ne savais pas vraiment mais derrière, j'avais l'opportunité d'être quelqu'un, d'être enfin une personne. Ma nouvelle vie commença, ici, dans l'Académie. Reste à savoir si j'allais vivre en tant que sith... Ou mourir en tant que faible.
Derrière l'écran
- Nouveau rpgiste ou vieille charogne ? : Nouveau membre mais vieux rôliste.
- Comment avez-vous atterri ici ? : Recherche GOOGLE.
- Fan de l'univers SW ou simple touriste ? : Le niveau en-dessous du mode HARDCORE
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