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Moments de campagnes [RP solo-Oneshot]
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B'Bar

Messages : 171
Date d'inscription : 20/06/2018
Localisation : Coruscant

Profil du personnage
Espèce: Ortolien
Réputation:
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Expérience :
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B'Bar
MJ RP | Politicien
Sam 15 Juin - 16:06


Dans son taxi, B’Bar relisait les notes que le NADA et Vivianne lui avait envoyé pour la journée. Après la soirée de la veille, certains auraient sans doute préféré passer quelques heures de plus dans leurs lits mais par B’Bar.
L’Ortolien avait d’une part, une très longue habitude de ce style de vie. C'était même SON style de vie.Cela faisait vingt ans qu’il extorquait les secrets des puissants la nuit pour les revendre au petit matin. Son organisme avait eu le temps d’apprendre à dormir peu la nuit et être actif tôt le matin. Cela se payait, certes, et il connaissait depuis quelques années une grande perte de régime sur les coup de dix-onze heure du matin mais il essayait de compenser cela avec de nouvelles méthodes alimentaire. Car c'était cela aussi, le secret de la vitalité de B’Bar.
Le Déviant avait vite comprit que dans ce milieu, une vie néphaliste ne pouvait que jouer à son avantage. Ivre ou simplement légèrement aviné, il avait tendance à perdre son accent du noyau pour parler de la trompe. Cet accent, en plus de le rendre difficilement compréhensible par les races non habitué aux langes proboscienne, pouvait soulever des questions sur son rang, sa personnalité et au final, sa nature. Et quand bien même il restait compréhensible, sa vrai nature se révélait légèrement. L’affable Prince B’Bar devenait un individu plus sec, plus méfiant voir hostile et acide avec ses interlocuteurs. L’inverse du bon comportement à avoir pour durer dans le métier concurrentiel de la recherche et la vente d’information.
Aussi avait il développé une technique simple mais efficace, celle de l’illusion. Chez les mammaliens du Noyau, la consommation d’alcool étant corrélé à l’amusement et la sociabilité, B’Bar avait dû apprendre à faire semblant de boire.
La technique se révélait souvent plus simple qu’il n'était possible de le croire au premier abord.Dans les cocktails et autre événements mondains la première hypothèse était de prendre la même chose que la personne invitant à la consommation. Une fois le verre en main il suffisait de goûter du bout des lèvres et exprimer un goût différent de son sommelier de circonstance. “Votre champagne est très festif, explosif en bouche je doit dire mais j’ai tendance à la préférez plus fin, vous ne m’en voulez pas ?” “C’est vrai, ce whisky est particulièrement doux, je vais le déguster doucement toute la soirée si vous ne voyez pas d'inconvénient”.
Cette amorce lancé auprès de ses interlocuteur, B’Bar n’avais ensuite qu’a faire miner de boire profondément en même temps qu’eux quand il ne faisait que tremper les lèvres dans la boisson. Cette technique simple et toute bete lui évitait de se retrouver le lendemain avec un troupeau de Bantha marchand à l’intérieur du crâne. Le poids des ans faisant, les rares fois ou il ne pouvait éviter l’ivresse, l’Ortolien se promettait d'être plus rigoureux dans sa consommation et les apparences. Heureusement pour lui, depuis quelques année, l'âge aidant justement et les mentalités changeant, une sorte de puritanisme face aux consommation d’alcool commencait à apparaître au sein de ses clients. Boire oui, trop, plus maintenant. Les gens comme B’Bar, connu pour une certaine “retenue” voyait leur attitude mise en avant face aux “champions” d’hier.
Ce positionnement facilitait donc la tâche. Mais pas que. Des le réveil, l’Ortolien prenait soin de lui. Son robot cuisinier se chargeait de lui faire différents jus de fruit frais, un repas équilibré et le pachyderme prenait un soin tout particulier à se préparer aux premières heures du jours. Sans se précipiter ou courir pour ses rendez vous, le Déviant mettait les premières heures du jours au service de sa personne et de son confort. Ce matin encore, après une longue douche massante finissant sur des jets vivifiant d'eau pure et fraîche, il avait déjeuné en robe de chambre face à aux actualités du jours et sa grande baie vitré pendant presque une heure avant d’aller choisir sa toilette dans son large dressing.
Son choix c’etait d’ailleur porté sur un complet de jour, bleu marine en soie avec un mouchoir en cachemir aux motifs floraux blanc. il avait finalisé sa tenue avec son habituelle couronne avant de monter d’attraper ses notes et monter dans le taxi ou il était actuellement.

A bord de ce dernier, B’Bar se rendait tranquillement vers la place Ruusan (anciennement Valorum mais débaptisé en urgence aux vu des révélations de ses dernières années pour un nom moins connoté) en plein coeur du secteur Gallaca. L’endroit, sans être le hub principal de l’arrondissement, était un lieu de passage fréquenté et populaire pour la population locale.
De nombreuses voie de circulation s'entremêlent ici et là et la place avait fini par devenir un quartier extrêmement vivant et cosmopolite. Restaurant, artisan, société en plein développement, centre commerciaux… Tout ce petit monde s'était aggloméré autour de cette place qui de plus, sous l’impulsion de Tower, il fallait bien le reconnaître, s'était transformé en un agréable lieu de vie et de balade avec l’aménagement de voies fluviales dans le quartier et la réfraction spécifique de miroirs spatiaux pour faire de l’endroit un lieu lumineux et estival.


Illustration - Cliquer pour déplier:
-Posez vous là, je finirais à pied.

De sa main massive, l’Ortolien montra vaguement un endroit vide à quelques encablure de la place. Son rendez vous de ce matin ne demandait pas une ponctualité absolu. Il avait en effet rendez vous avec Vivianne et la nouvelle équipe de campagne du NADA dans les nouveaux locaux officiel du parti et de la campagne.
Rien d’urgent interdisant au premier colistier de prendre son temps pour se balader dans les environs, se faire voir par les commerçants locaux et les encourager à voter pour lui donc. De plus B’Bar n'était pas réellement un habitué de ce quartier populaire. Son train de vie l’avait détourné de ses lieux pour d’autre cimes plus dorée. Il avait vécu dans des environnement bien pire, Orto par exemple, ou ici sur Coruscant dans les bas quartiers.


*C'était il y a bien longtemps.. Ce restaurant.. Existe il encore ?*

Dans tous les cas il n’allait surement pas y mettre les pieds. Déja car on ne savait jamais qui pouvait le reconnaître las bas. Cela faisait presq de vingt ans certes mais vu les incompétents et autres personnalités minables de ce coin, le déviant trouvait sérieux l’idée que certains n’ai ni bougé ni évolué depuis. Pas question d'être reconnu par l’un de ses traines-misère et voir sa précieuse identité tomber à l’eau.Et puis.. Dans son temps l'hygiène et la nourriture étaient vraiment secondaire.. Ici au moins il y avait des robot-serveur aux mains stérilisés automatiquement sans intervention et contagion organique.
Mais quoi prendre ?
Pour le moment B’Bar n’avait croisé que des “cadres” du NADA, faisant partie des instances dirigeantes du parti. La, ce matin, le bain de foule en perspective allait se concentrer sur les “petites mains” s’il avait bien lu le mémo. Les secrétaires, les graphistes, les assistants, les militants.. Bien que se doutant que pour un secteur comme Gallaca le nombre serait conséquente, pour le moment B’Bar ignorait la taille moyenne des effectifs disponible pour cette élection. Trois cent ou trois mille ? La politesse et l’image serait positive si B’Bar arrivait avec un petit quelque chose pour ses petites gens mais s’il arrivait avec trop son geste serait tout simplement ridicule et s’il venait avec pas assez, il pourrait être prit comme tout simplement insultant. Cruel dilemme…
Pour y réfléchir B’Bar déambula dans les rues proches de l’adresse du siège. A cette heure, le macadam et les trottoirs était le royaume des livreurs, des manutentionnaires et des contremaitre. Il s’agissait de vider les camions de livraison, gerber les marchandises dans les entrepôts, en charge d’autre, aller deux rues plus loins, saluer le voisin, le collègue et avancer sur l’horaire. une incessante cavalcade joué par autant d’acteur qu’il y avait de commerce. Ajouter à cela les service de nettoyage urbains, les machines et le reste, elle semblait loin l’image du quartier tranquille et convivial.
Au milieu de toute cette agitation le pachyderme dégota un petit café, situé quasiment juste en face de l’adresse du nouveau QG du NADA. L’endroit ne payait pas de mine et était pour le moment, le repère de ces gens invisibles des premières heures du jours. L’Ortolien trouvait cet endroit plein de charme. De taille modeste, ce n'était pas sa clientèle ou la qualité de son service (au bar visiblement et fait par un organique bon sang !) mais sa décoration délicieusement surannée et la large baie vitrée au fond de ce dernier qui donnait directement sur le hall central de la gare, un niveau plus bas. De petit café oubliable, les tables les pls au fond donnait l’impression d’observer un spectacle de fourmie s’agitant dans leur terrarium. Les habitués, eux, ne semblaient pas s’en préoccupait et restait accolé au comptoire, petit noir en main.


-Hey ben m’sieu, quels beaux habits ! J’vous sers quoi ?
Lança le tenancier par delà son zinc.

B’Bar hésita sur l’attitude à avoir et la réponse à donner. Oui, c’est sur, il était bien mieux habillé que ses clients habituels et son seul veston devait coûter autant que le salaire journalier de ses pauvres bougres. Et alors ? Devait il s’en excuser ou se vêtir de loques ? Méfiant mais prudent, l’Ortolien se rappela qu’il était en campagne et que, dans les milieux du bas de l’échelle sociale il était d’usage d’interpeller les autres de manière aussi triviale et directe. Préférant éviter l’affrontement il répondit simplement.


-Un petit déjeuner continental.Avec un café long patron. Merci.


Le cafetier regarda B’Bar un instant avant d'opiner du chef et de commencer à préparer la commande. Visiblement B’bar avait passé son “épreuve sans savoir réellement en quoi elle consistait et comment il l’avait réussi. Il s’avança vers le comptoir pour récupérer dans un premier temps le café , sa viennoiserie et le reste de son petit déjeuner.Il hésita à l’endroit ou aller. La vue du fond du café lui paraissait apaisante et inspirante, une bonne chose en somme sur l'attitude à adopter pour sa rencontre avec l’équipe du NADA ou bien il pouvait sortir et se placer en terrase, pour observer ainsi son prochain lieu de travail. Un placement qui lui permettrait de voir les allée et venue dans le bâtiment mais aussi d'être vu et donc potentiellement dérangé par des militants du NADA alors qu’il voulais juste réfléchir au calme.

-J’crois pas avoir avoir déjà vu. Vous ete juste de passage?
Et voilà ! L’univers réglait le choix de B’bar pour lui. Entre tous ses habitués aux histoires sans aucun doute croustillantes le tenancier avait préféré les délaisser pour s’occuper et s'intéresser du nouveau ne voulant qu’un petit déjeuner tranquille. D’ailleur, si B’Bar avait passé une telle commande, ce n'était pas seulement par gourmandise, mais plus pour jauger de la qualité de l’établissement. S’il lui servait un croissant mou et un café fade les chances que B’Bar repasse ici pendant sa campagne seraient proche de zéro. Et comme il n’avait toujours pas eu l'occasion de goûter à ceux-ci il privilégia la piste de la réponse prudente.

-Pas vraiment. J’ai comme qui dirait un nouveau travail dans le coin.Juste là.

De son gros doigt B’Bar montra vaguement le bâtiment du NADA avant de se saisir de con café. L’heure du jugement arrivait. Utilisant la technique précédemment évoqué il goûta avec méfiance la préparation au cas où ce dernier serait infect. Oh surprise ! Le café, sans etre un grand cru ou le meilleur café de Coruscant etait à vrai dire, tout à fait normal et d’une qualité attendu pour un café classique. Lui qui, finalement, préparait sa déception devait la avaller et rendre à César ce qui appartenait à César : Cet homme connaissait son métier.

-Ah, ouais, en effet. Ca explique le chambard de ces dernières semaines. J’ai vu plein de truc passer, des meubles, des trucs higts tech. C’est pas un trucs des nouvelles technologies qui s’y installe ?

Moments de campagnes [RP solo-Oneshot] 1598668104 -Nan, t’y est pas. J’crois que c’est un truc d’une école ou un truc de politicard qui s’y installe. On y a installé des trucs dedans avec Justag. M’sieu doit p’etre mieux le savoir nan ?

Le fameux savoir des cafés. Ces lieux d’échange et de rumeur. Dans un quartier vivant comme celui-ci les signes d’activités inconnu pouvaient prendre vraiement des formes diverse. En gardant une tête neutre, B’Bar attaqua son croissant en s’imaginant professeur ou gourou d’une nouvelle technologie “RE-VO-LU-TI-NAIIIIIIIRE” ( à prononcé de plus en plus fort en écartant les bras tout du long). Comme le café, le croissant était une bonne surprise. Encore légèrement chaud, bien croustillant il agissait comme une petite touche de douceur bien venue après l’amertume du café. Mis en joie par cette agréable petite surprise B’Bar avalla son croissant et commença sa réponse.

-Est-ce-que vous avez entendu parler du NADA ?

B'Bar

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B'Bar
MJ RP | Politicien
Jeu 4 Juil - 13:52
Finalement, c’est avec le retard u à son rang et sa fonction de que B’Bar se présenta à l’accueil de ce qui allait etre, pour toute la durée de la campagne, le QG du NADA sur le secteur Galacca.
B’Bar avait profité de son petit déjeuner pour tenter de convaincre de nouveaux citoyens de participer au jeu électoral et de soutenir des gens comme lui, fortement impliqué dans la vie des acteurs utile de l’économie et dans le tissus social local. A ses petites gens il ne leur avait parlé de sa place dans le NADA. D’une part pour éviter de passer pour un arriviste en quête de reconnaissance et de l’autre pour tenter plus efficacement de les convaincre plus tard. Pour ses gens, le candidat du NADA serait ainsi une personne comme les autres, humble et proche d’eux. La parfaite image voulu par les hautes sphère du partie !
Certes, cela ne serait pas sept ou huit voix qui feraient la différence dans un secteur de plusieurs millions d’habitants. Au mieux, si l’éléphantesque candidat continuait de la sorte, il pourrait arriver à combler son déficit de notoriété (et celui du parti) à l'échelle ultra-locale et ensuite jouer sur la contagion pour toucher de plus en plus de monde.
C’est en réfléchissant sur cette idée, sur une campagne de publi-reportage au sein des médias locaux et le ratio cout/temps/efficacité que B’Bar franchis les portes du nouveau siège du NADA.
Il s’agissait d’un batiment typique de Coruscant, décoré a la dernière mode et aux couleur du mouvement. La designer semblait avoir mit l’accent sur l’espace, la clareté et la transparence. Sans doute pour mieux coller aux ambitions et aux valeurs de l’organisation naissante. Comme sur tout Coruscant, les matières préférés avaient été le plastacier et le verre à haute résistance. Tout avaient été fait pour laisser la place à la lumiere naturelle et a garder le visiteur dans un cadre calme, apaisant et presque “naturel”. A contrario des autres édifices du genre, le parti n’avait pas choisit de pencher vers les hologrammes personnalisé mais pour des oeuvres d’arts physiquement présente disposé dans les différents coins de ce grand hall. Il y avait de tout. Des photos, de la sculpture, un coin vidéo et de minuscules agoras, intégré directement dans la salle qui permettaient sans doute, de tenir la de petites conférences de presse impromptu sans pour autant gêner les autres. Il y avait aussi, intégré directement au sol, un marquage intelligent montrant au visiteur le chemin à emprunter en fonction de ses envie. Il lui suffisait de s'arrêter quelques secondes et plusieurs flèches apparaissait au sol. L’une pour la presse, l’autre pour les groupes de travail et la troisième vers l’accueil, pour répondre à des questions plus précise.
Une technologie que B’Bar n’avait jamais vu réellement a l’oeuvre mais dont il nota tout de suite l’ingéniosité. Dans ce lieu “ouvert” personne n’etait retenu par des agents de sécurité ou des droides, tout le monde pouvait aller la ou il se souhaitait et participer au mouvement. Une initiative louable mais dans les faits difficiles. Lui, pour le moment, flanait et prenait son temps. Une personne véritablement intéressé par la NADA ou perdu dans ce hall prendrait elle le temps de demander à ses pieds quoi faire ? Il avait beau être novice en politique, il en doutait fortement. L’intégration (sans aucun doute coûteuse) de cette technologie au sol du bâtiment semblait plus tenir du gadget voulu par un service de communication que d’une demande sérieuses relevé face aux hordes de nouveaux adhérents.

Quoi qu’il en soit, ne sachant par encore ou aller, B’Bar fit donc comme tout le monde et se dirigea vers l’accueil ou un vrai personne (et non une machine) s’occupa à la renseigner. La discussion fut courte mais interessante. D’une part car elle montrait la volonté affiché du partie a jouer à fond la carte de l’échange citoyen. Un roboto de protocole aurait coûté moins cher et aurait pu répondre à des situations plus varié (en fonction des langues et des coutumes raciales de chacun) mais placer là un véritable militant montrait surtout que le parti fonctionnait grâce et pour tous. Sans sot métier, sans tâche rebutante, tous s'atteler à construire la galaxie de demain.
Dans les informations plus pratique B’Bar eu l’occasion d’en apprendre plus sur les lieux et ses occupants grace à cette courte discussion.
Le quartier général du NADA ou plutôt le “Bureau de campagne pour l’action citoyenne et la projet “La Galaxie en commun”” car tel semblait être son nom officiel, utilisait l’ensemble des sept étages de l’immeuble sur une surface totale de 8.000m carré. Avec ces quatres cents salariés/employés/volontaires pour la campagne il se plaçait dans la moyenne basse par rapport aux autre candidats du secteur. Le réceptionniste lui indiqua aussi à mots couvert qu’il était heureux de rencontrer l’une des figure s de la campagne et qu’il avait hâte de voir ce grand bâtiment à moitié vide bientôt déborder d’activité.
Le batiment était organisé de la sorte.Le rez de chaussé et le premier étage etait dévolu aux militants et aux zones d’échange et de construction autour du programme. A l’image du hall central, ses allées desservant de nombreuses salles de réunions et d'amphithéâtre pour accessible à tous, militants comme curieux pour discuter et construire le mouvement. Ses niveaux disposaient aussi de salles dédié a la presse, comme à tous les étages. Au seconds , le parti avaient décidé de placer les bureaux des cadres exécutifs et donc, le futur bureau de B’Bar, toujours dans l’idée de montrer leur proximité et leur accessibilité pour tous. On retrouvait aussi des salle de réunions, plus stratégique aussi, pour débattre avec les autres antennes du NADA sur Coruscant et ailleur dans l’espace républicain.
Le troisième niveau concentrait la majorité des vastes salles de réception pouvant aussi bien accueillir des cocktails, des soirée spéciales ou encore de vastes cours magistraux dans différents amphithéâtre.
Le reste des étages supérieur comprenait lui l'ensemble des autres tâches dont le mouvement avait besoin dans une campagne aussi large que celle ci comme la comptabilité, le services de communication interne au parti, externe a destination des militants et des indécis, les politologues, le service média, les secrétaires, les chefs de section etc etc.. une véritable petite fourmilière dont l’Ortolien allaient devoir vite apprendre les codes et usages (ainsi que les chefs) s’il espérait pouvoir peser sur l’appareil politique. Dans ce sens il lui semblait dors et déjà prcevoir des limite dans l’organisation du parti. Lui, le, prince déchu d’une planète lointaine et minable, avait eu des leçons donné plus ou moins volontairement par ses pairs sur le pouvoir. Le pouvoir pouvait certes se montrer, mais avant tout il s’executait sur ceux capable de le détenir vraiment : la petite administration. Coupé des étages supérieurs exécutant leur volonté, les cadre du NADA allaient devoir se reposer sur des personnes de confiance chargé de faire la navette entre “eux” et les “autres”. Un grand pouvoir entre de bien petites mains qui, si elles étaient un minimum malignes, pouvaient en faire de grande choses. Un piège mortel à moins d’en tirer parti.
Abandonnant ses réflexions autour d’une campagne de proximité B’Bar tourna son esprit vers l’intérieur du NADA et son fonctionnement. On l’attendait au niveau 3 pour rencontrer justement ses petites mains et les acteurs internes du NADA. Le moment parfait pour éprouver sa relfexion...
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